Un soutien psychologique est-il nécessaire ?
Le PTI n’entraine pas de handicap au sens strict du terme mais comme au cours de toute maladie chronique, le patient peut traverser des moments de crainte, de doute et/ou d’anxiété. Certains patients signalent une fatigue anormale lorsque leurs plaquettes baissent. Certains traitements parmi ceux utilisés au cours du PTI peuvent parfois engendrer des troubles de l’humeur, c’est notamment le cas des corticoïdes qui peuvent entrainer un état d’excitation et/ou d’irritabilité anormale, plus rarement, un état dépressif. Un soutien psychologique peut donc s’avérer nécessaire si le patient est demandeur et lorsque les réponses à ses questions apportées par le médecin spécialiste ne suffisent pas à atténuer le sentiment d’anxiété.
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